Ils sont créés artificiellement en quantité depuis plus de 60 ans par les réacteurs nucléaires et les bombes atomiques.
Certains restent dangereux des millions d’années (ils émettent des rayonnements qui endommagent les cellules).
On ne sait toujours pas retraiter ces déchets de façon économique, ils sont stockés pour que les générations futures fassent mieux que nous, ou sont diffusés dans l’environnement.
Gérés par les états, cette production est de plus en plus souvent cédée à de grosses sociétés privées.
La catastrophe de Tchernobyl a montré qu'une fois disséminés dans l'environnement il faut faire avec (avec les cancers, les leucémies, les malformations ...)
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Ils sont diffusés dans la nature depuis près de 10 ans.
Ils ont pour but de faire produire par un organisme (une plante par exemple) une substance produite par un autre organisme (un animal par exemple).
99% de la production mondiale sert à rendre une plante tolérante à un herbicide ou à lui faire produire un pesticide.
Ils sont un cas d'école de la mainmise des multinationales sur l'autonomie alimentaire des populations par le brevetage du vivant.
Ils n'ont apporté aucun des bienfaits annoncés, ni aux paysans, ni aux populations. (augmentation de la consommation de pesticides, épuisement des sols, ruine et suicide des petits paysans, contamination des champs traditionnels...)
Seule l'opposition farouche des consommateurs alertés par certaines organisations a freiné en France l'essor du tout OGM et imposé un étiquetage minimum (les seuils de contamination sont importants et les aliments provenant d’animaux nourris aux OGM ne sont pas signalés).
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Prés de 2000 produits faisant appel aux nanotechnologies sont dors et déjà sur le marché.
Leur grand rapport surface / masse implique des propriétés physiques intéressantes, de plus les effets quantiques négligeables sur des particules plus grosses ne le sont plus à cette échelle ce qui leur confère de nouvelles propriétés.
Des projets à plus long terme concernent la liaison vivant-machine.
Leur toxicité n’est pas due à leurs propriétés chimiques, mais à leur taille qui leur permet d’interagir avec les cellules selon un mécanisme voisin de celui de l’amiante.
Ils sont diffusés par des compagnies transnationales.
Cosmétiques et nouveaux matériaux sont les principaux débouchés de ces technologies.
Ils ne sont soumis à aucune réglementation particulière.
Aucun étiquetage ne permet au consommateur de savoir ce qu'il achète.
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